Appareil à cylindres, Les Moulins de Saint-Gabriel, Saint-Gabriel-Brécy. Ce broyeur à cylindres, construit dans les ateliers H. et G. Rose frères de Poissy, fait partie de l’équipement d’écrasement des Moulins de Saint-Gabriel. Sa coque de métal et de bois enveloppe des cylindres en fonte qui broient les grains de blé tombant des globes d’alimentation en verre. Plusieurs passages successifs entre différents cylindres sont nécessaires pour obtenir une farine blanche. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2010
Système de convoyage de la farine, Les Moulins de Saint-Gabriel, Saint-Gabriel-Brécy. Les produits de mouture sont convoyés entre les différentes machines de l’atelier de fabrication par un système de chaînes à godets protégées par une enveloppe de bois. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2010
Plansichters, Les Moulins de Saint-Gabriel, Saint-Gabriel-Brécy. Inventés par un meunier hongrois à la fin du XIXe siècle, les plansichters ont permis d’améliorer le blutage de la farine. Mises en place au moulin en 1930, ces grandes armoires de bois animées d’un mouvement circulaire contiennent une succession de tamis, cadres en bois recouverts de tissu, traversés par une farine de plus en plus fine. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2010
Turbine hydraulique, Les Moulins de Saint-Gabriel, Saint-Gabriel-Brécy. Cette turbine hydraulique de type Francis a été installée en 1929 par la Société Hydro-Mécanique de Toulouse.
© Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2010
Minoterie de Calix, Caen. Le point de vue en contre-plongée accroît l’impression de verticalité du bâtiment. Reconstruite dès 1946, après les dommages causés par la Deuxième Guerre mondiale, la minoterie est à nouveau opérationnelle en 1948. Adossée au silo de béton de 1928, elle est devenue, avec son architecture de brique rouge et de béton, un monument phare de la presqu’île de Caen. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Épierreuses, minoterie de Calix, Caen. Ces deux épierreuses appartiennent au cycle de nettoyage du blé. Un tapis vibrant associé à un système de soufflerie sépare les grains de blé des cailloux, en fonction de leur densité respective. Les premiers sont dirigés vers le système de circulation pneumatique, les seconds tombent, par à-coups, dans une poche de récupération. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Appareil à cylindres, minoterie de Calix, Caen. Destiné à assurer l’écrasement des grains de blé, cet appareil à cylindres est l’un des vingt-neuf que compte la minoterie. Chacun est doté d’une plaque signalétique (date de construction, numéro de série…) permettant de l’identifier. Celui-ci, mis en valeur par un cadrage photographique resserré, est sorti des usines suisses Bühler en 1987. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Sucrerie Saint Louis Sucre, Cagny. Depuis sa construction à partir de 1950, la silhouette de la sucrerie de Cagny, avec son atelier de fabrication, ses silos de stockage, ses fours à chaux et sa station de déshydratation, s’est intégrée au paysage du sud-est de Caen. Née des stratégies industrielles de la société sucrière Bouchon à Nassandres (Eure), la sucrerie fait aujourd’hui partie du groupe Saint Louis Sucre. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Couteaux de coupe-racine, sucrerie Saint Louis Sucre, Cagny. Photographiés durant « l’inter-campagne », ces couteaux ont été retirés du coupe-racine et alignés dans l’attente de leur entretien. En « campagne », période de transformation de la matière première comprise entre septembre et janvier, ils fendent les racines de betteraves, récoltées localement, en cossettes. Celles-ci, au contact de l’eau chaude du diffuseur, libéreront leur saccharose. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Atelier de fabrication, sucrerie Saint Louis Sucre, Cagny. Le jus sucré, obtenu par diffusion, est épuré, filtré et décalcifié. Concentré par évaporation, il est ensuite conduit dans la « zone arrière » de la sucrerie, où il est chauffé dans des « cuites » et additionné de particules de sucre glace pour provoquer un phénomène de cristallisation. La préparation est alors malaxée, refroidie et turbinée pour devenir du sucre semoule. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Pétrins, Biscuiterie Jeannette, Caen. La Biscuiterie Jeannette peut, en héritière de La Maison normande Mollier, s’enorgueillir de ravir les palais caennais depuis 1850. Détentrice de la fameuse recette des madeleines, dont la « pâte jaune » est mélangée dans ces pétrins, elle s’est installée avenue Charlotte Corday après le rachat de la Biscuiterie caennaise en 1969. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Four Bonnand Lornac, Biscuiterie Jeannette, Caen. Les moules remplis de pâte à madeleine sont transportés jusqu’au four Bonnand Lornac par un tapis roulant. Les madeleines en ressortent dorées après environ sept minutes de cuisson. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Doseuse pondérale à pesée associative, Biscuiterie Jeannette, Caen. Les madeleines cuites dans un four tunnel rejoignent, après leur sortie de la tour de refroidissement, les quatre doseuses pondérales à pesée associative Ishida et Bosch, qui déterminent le nombre de gâteaux à répartir dans chaque paquet selon leur poids. Les madeleines seront ensuite conditionnées et encartonnées. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
Salle frigorifique, abattoirs Elivia, Villers-Bocage. Depuis la mise en service des abattoirs par la municipalité de Villers-Bocage en juin 1966, l’effectif des salariés de l’établissement est passé de trente-deux à plus de cinq cents en 2012. Les tâches se répartissent entre l’abattage, la découpe et la transformation de la viande bovine. Les pièces de boucherie, conservées dans des chambres frigorifiques, sont scrupuleusement contrôlées. © Région Basse-Normandie – Inventaire général – Manuel de Rugy, 2011
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